La campagne des néologismes subis
Jean Marie Le Pen nous avait habitué à une dizaine de néologisme en -isme(immigrationniste, européiste, etc…). ce type de néologisme est volontaire, préparé et donc choisi.
Ségolène, avec son fameux « bravitude », nous a fait un néologisme de fatigue… Il était donc involontaire. C’ést un néologisme subi. Mais la presse et les commentateurs en ont fait tout un paquet!
… Et Sarkozy n’a rien trouvé de mieux que de faire du néologisme à la Ségolène et subi..
Voulant initialement utiliser le mot « fatuité », il a parlé de « fatitude ».
http://www.liberation.fr/actualite/politiques/elections2007/248390.FR.php
Ca fait trop pour un seul homme!
Vive ce qui est subi… Au moins, on en rit.